Une soudaine rafale d'averses estivales m'a laissée trempée. Mes cheveux dégoulinaient sur ma peau mouillée, ma chemise trempée épousant mes courbes. Alors que j'anticipais enfin rentrer chez moi, l'excitation montait à l'idée de me débarrasser de ces couches gorgées d'eau et de ressentir la ruée de la libération.